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Fleur Pellerin

Fleur Pellin, née en 1973, est l'actuelle ministre de la Culture et de la Communication dans le gouvernement socialiste Valls II. Elle est la première personne d'origine asisatique à intégrer un gouvernement de la Ve République.

Abandonnée dans dans la capitale sud-coréenne Séoul alors qu'elle venait à peine de naître (sous le patronyme de Kim-Jong-suk), elle est recueillie par un orphelinat puis adoptée par une famille française. Elle poursuit une brillante scolarité et intègre l'ENA puis devient magistrate à la Cour des comptes au début des années 2000. Haut-fonctionnaire au départ, elle n'a exercé aucun manfat électif et sa seule expérience en politique est gouvernementale.

Elle a d'abord été ministre déléguée aux PME, à l'Innovation et à l'Économie numérique. Appréciée par les professionels du web, elle a souvent été en conflit avec son ministre de tutelle Arnaud Montebourg. Elle est ensuite devenue secrétaire d'État chargée du commerce extérieur. En tant que ministre de la Culture (depuis fin août 2014), elle s'est récemment distinguée en avouant dans la presse qu'elle n'avait plus le temps d'ouvrir un livre depuis qu'elle est en fonction à rue de Valois.

Elle débute en politique en 2002 en rejoignant l'équipe de Lionel Jospin pour la campagne présidentielle.

Nationale

La libre création des œuvres et la libre programmation des spectacles

La libre création des œuvres et la libre programmation des spectacles : le texte du gouvernement rappelle qu'elles sont des biens communs qui doivent être, à ce titre, mis à l'écart de choix de pure opportunité politique et garantis par la loi, et prévoit le cadre précis de la politique publique qui lui donne corps, en particulier au travers de la politique de labelisation.

Les nouveaux usages numériques : le texte modernise les relations entre acteurs des filières musicales et cinématographiques pour assurer leur meilleur équilibre et vise à favoriser l'accessibilité aux livres.

Les patrimoines : le projet de loi vise à conforter et moderniser leur protection en simplifiant le droit des espaces protégés, tout en le rendant plus intelligible pour les citoyens en consacrant la notion de Cité historique. Il ambitionne également de renforcer l'efficacité de la politique de l'archéologie, notamment préventive, et la légitimité de la protection du patrimoine archéologique.

Le projet de loi énonce enfin une ambition nouvelle pour l'architecture, en rappelant l'enjeu de la qualité architecturale, qui constitue le cadre de vie des Français.

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